In the hallways of 42, suitcases and sleeping bags are piled, and people are stretched out on mattresses in some of the corners. There are showers and dozens of colorful bath towels.Living here for the next month are some of the 4,000 potential students who already made the first cut by passing cognitive skill tests online.
Now they have to clear another hurdle. They’re thrown together and challenged with computer problems for 15 hours a day. Only 800 students will get a place, says 42′s director, Nicolas Sadirac.
A Demand For Thinkers From Any Class“It’s very, very intensive,” Sadirac says. “It’s a kind of selection, but [for] the long term. So we don’t just do an examination. We spend four weeks choosing each student.”
The only criteria for applying is to be between the ages of 18 and 30. Applicants don’t need money, or a particular level of academic achievement. A third don’t even have high school diplomas.
Sadirac says they’re not looking for how much students know, but how they think. One of the school’s main goals is to unearth talent in poor areas, where kids don’t fit into the traditional French academic mold.
“We don’t want to teach them stuff. We want them to find solutions on problems, because we don’t know the problem in the future. So we are creating students able to learn by themselves.”
Youth unemployment in France is at a 14-year high. At the same time, French companies cannot find enough IT specialists, and thousands of young computer enthusiasts can’t get training. That prompted 42′s founder Xavier Niel to invest $90 million of his own money in the school.
Niel, the creator of France’s third largest telecommunications company, Free, says the social elevator in France is broken.
“If you’re the son of a blue-collar worker, you’re going to be a blue collar worker,” Niel says. “Children of elites stay elite. We have 200,000 kids a year who drop out of the French school system and have no hope. They become a drag on society. We want to help these young people take control of their lives.”
A Different Way To LearnThe school’s name is taken from the science fiction classic,
The Hitchhikers Guide to the Galaxy, where 42 is the answer to the question of life.
Sadirac is sure that graduates of 42 will have the real life IT skills to get a job, even though the school’s methods are a complete departure from France’s highly centralized education system. There are no teachers. Students learn by solving problems.
“We don’t want to teach them stuff,” he says. “We want them to find solutions on problems, because we don’t know the problem in the future. So we are creating students able to learn by themselves.”
Sadirac says in the next 20 years the world will change at a staggering pace. 42 is looking for young people who can think outside the box. He says formal academic training can sometimes hinder that by teaching students to follow models rather than innovate.
“So if we want to make people innovative, or creative, we need to get out of this system,” he says.
Another Kind Of Open CampusDuring their final year, 42′s students will work together on a huge project known as a masterpiece. Much like an apprenticeship, they build their talents and learn from each other.
Candidate Lloyd Cochet, 18, loves the school’s philosophy.
“I had a hard time following in school,” Cochet says. “They forbid us to talk in class. And here, talking together and passing along tips is the key to succeeding.”
Outside on the sidewalk, Omar Marzougi, 27, is taking a break. His parents emigrated from Tunisia. Many young people with North African roots say they face discrimination in France. It’s a complicated issue, Marzougi says, but he’s sure of one thing.
“There’s no discrimination at this school, because getting in isn’t based on your education level or social status,” he says. “It’s a true melting pot.”
french
Dans les couloirs du 42, valises et sacs de couchage sont empilés , et les gens sont allongés sur des matelas dans certains virages . Il ya des douches et des dizaines de serviettes de bain colorés .
Vivre ici le mois prochain sont quelques-uns des 4.000 étudiants potentiels qui ont déjà fait la première coupe en passant des tests de compétences cognitives en ligne.
Maintenant, ils doivent effacer un autre obstacle. Ils sont jetés ensemble et contestées par des problèmes informatiques pour 15 heures par jour . Seuls les 800 élèves obtiendront une place, affirme le directeur de 42 ans, Nicolas Sadirac .
A la demande pour des penseurs de n'importe quelle classe
«C'est très , très intense », dit- Sadirac . «C'est une sorte de sélection , mais [ pour ] le long terme. Nous n'avons donc pas de faire un examen. Nous passons quatre semaines choisissant chaque élève ».
Les seuls critères d'application est d'être entre les âges de 18 et 30 ans. Les candidats n'ont pas besoin d'argent, ou d'un certain niveau de réussite scolaire. Un tiers n'ont même pas de diplôme d'études secondaires .
Sadirac dit qu'ils ne sont pas à la recherche de ce que les élèves savent, mais la façon dont ils pensent . L'un des principaux objectifs de l'école est de dénicher talent dans les régions pauvres , où les enfants ne rentrent pas dans le moule académique française traditionnelle.
" Nous ne voulons pas de leur apprendre des choses . Nous voulons qu'ils trouvent des solutions aux problèmes , parce que nous ne connaissons pas le problème à l'avenir . Donc, nous créons des étudiants capables d' apprendre par eux-mêmes " .
Le chômage des jeunes en France est à un haut niveau en 14 ans. Dans le même temps , les entreprises françaises ne peuvent pas trouver suffisamment de spécialistes en informatique , et des milliers de jeunes passionnés d'informatique ne peuvent pas obtenir de la formation . Cela a incité le fondateur Xavier Niel de 42 à investir 90 millions de dollars de son propre argent dans l'école.
Niel, le créateur de la troisième plus grande société de télécommunications en France , Free, dit l'ascenseur social en France est cassé.
«Si tu es le fils d'un ouvrier , vous allez être un travailleur en col bleu », dit Niel . «Les enfants des élites restent élite . Nous avons 200.000 enfants par an qui quittent le système scolaire français et n'ont aucun espoir . Ils deviennent un frein à la société. Nous voulons aider ces jeunes à prendre le contrôle de leur vie. "
Une façon différente d'apprendre
Le nom de l' école est tirée du classique de science-fiction , Les auto-stoppeurs Guide to the Galaxy, où 42 est la réponse à la question de la vie .
Sadirac est sûr que les diplômés de 42 auront la vie réelle des compétences informatiques pour obtenir un emploi , même si les méthodes de l' école sont une rupture totale avec le système éducatif très centralisé de la France . Il n'y a pas d'enseignants . Les élèves apprennent par la résolution de problèmes .
" Nous ne voulons pas de leur enseigner des choses », dit -il. " Nous voulons qu'ils trouvent des solutions aux problèmes , parce que nous ne connaissons pas le problème à l'avenir . Donc, nous créons des étudiants capables d' apprendre par eux-mêmes " .
Sadirac dit au cours des 20 prochaines années, le monde va changer à un rythme effarant. 42 est à la recherche pour les jeunes qui ne peuvent sortir des sentiers battus . Il dit que la formation universitaire peut parfois empêcher que des étudiants de l'enseignement à suivre les modèles plutôt que d'innover .
" Donc, si nous voulons rendre les gens innovant ou créatif , nous devons sortir de ce système», dit-il.
Un autre type de Campus Ouvert
Au cours de la dernière année , les étudiants de 42 vont travailler ensemble sur un énorme projet connu comme un chef-d'œuvre. Tout comme un apprentissage, ils construisent leurs talents et apprendre les uns des autres .
Candidat Lloyd Cochet , 18 ans, aime la philosophie de l'école.
«J'ai eu du mal à suivre à l'école », dit- Cochet . "Ils nous interdisent de parler en classe. Et ici , parler ensemble et en passant le long des conseils est la clé pour réussir " .
Dehors, sur le trottoir , Omar Marzougi , 27 ans, prend une pause . Ses parents ont émigré de Tunisie. Beaucoup de jeunes qui ont des racines nord- africaines se disent victimes de discrimination en France. C'est une question complexe , Marzougi dit , mais il est sûr d'une chose .
«Il n'y a pas de discrimination à cette école , parce que se n'est pas en fonction de votre niveau d'éducation ou le statut social , " dit-il. «C'est un véritable melting-pot ».
